En 1998, Te Fare Tauhiti Nui commandait au musicien Clément Bailly une étude sur la musique polynésienne des origines à nos jours.
Après plusieurs mois de recherche tant en Polynésie qu’à l’étranger, il apparaît à Clément Bailly que les documents relatifs à l’histoire de la musique en Polynésie sont très dispersés et qu’il n’existe en fait aucune synthèse fiable.
Dès lors, l’idée de réaliser un document de synthèse audiovisuelle accessible à tous, germe au sein de la direction du Fare Tauhiti Nui.
« Arearea » est un documentaire qui raconte la petite histoire de la chanson polynésienne, des origines (tout du moins de ce que l’on en sait) à la fin des années 60.
Clément Bailly et le réalisateur Marc E. Louvat travaillèrent donc à la recherche de documents sonores, photographiques, et audiovisuels rares, parfois inédits, très souvent oubliés du plus grand nombre.
Ainsi, nous pouvons entendre les premiers enregistrements phonographiques de Tahiti, « Songs of the atolls » de Guilbert, redécouvrir des extraits du film de Henri Hiro « Tarava », mais aussi comprendre l’évolution de la musique polynésienne et comprendre ses influences.
Equipe technique :
Production : ICA, Te Fare Tauhiti Nui
Direction de production : Eric Bourgeois, Jean-Marc Pambrun
Réalisation : Marc E. Louvat, Clément Bailly
Son : Clément Bailly, Jean-Jacques Canot
Montage : Marc E. Louvat
En 1998, Te Fare Tauhiti Nui commandait au musicien Clément Bailly une étude sur la musique polynésienne des origines à nos jours.
Après plusieurs mois de recherche tant en Polynésie qu’à l’étranger, il apparaît à Clément Bailly que les documents relatifs à l’histoire de la musique en Polynésie sont très dispersés et qu’il n’existe en fait aucune synthèse fiable.
Dès lors, l’idée de réaliser un document de synthèse audiovisuelle accessible à tous, germe au sein de la direction du Fare Tauhiti Nui.
« Arearea » est un documentaire qui raconte la petite histoire de la chanson polynésienne, des origines (tout du moins de ce que l’on en sait) à la fin des années 60.
Clément Bailly et le réalisateur Marc E. Louvat travaillèrent donc à la recherche de documents sonores, photographiques, et audiovisuels rares, parfois inédits, très souvent oubliés du plus grand nombre.
Ainsi, nous pouvons entendre les premiers enregistrements phonographiques de Tahiti, « Songs of the atolls » de Guilbert, redécouvrir des extraits du film de Henri Hiro « Tarava », mais aussi comprendre l’évolution de la musique polynésienne et comprendre ses influences.
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