Emmanuel Kasarhérou est né le 16 juillet 1960 à Nouméa. Son père, Hyppolyte Kasarhérou, est un tailleur kanak, et sa mère, Jacqueline de La Fontinelle, est une grande linguiste, enseignante à l'INALCO, experte en langues océaniennes. Par sa mère, il est aussi le petit-fils du peintre animalier Jean de La Fontinelle et descendant du peintre naturaliste de l'école de Barbizon François Auguste Ortmans (1826-1884).
Il étudie auprès de José Garanger, et rencontre ce faisant Roger Boulay, conservateur au musée des arts d’Afrique et d’Océanie au palais de la Porte dorée. Emmanuel Kasarhérou est nommé à 25 ans, en 1985, directeur du musée de Nouvelle-Calédonie. Avec Roger Boulay, il conçoit l’exposition « De jade et de nacre, Patrimoine culturel kanak » en 1990, qui est présentée à Nouméa puis à Paris.
Il prend ensuite en 1998 la tête du musée du centre Tjibaou, nouvellement inauguré à Nouméa, comme directeur culturel de l’Agence de développement de la culture kanak (ADCK), dont il devient directeur général en 2006. (Source Wikipedia).
Interview réalisée dans le cadre du FIFO 2009.
Equipe technique :
Production : ICA
Production : Eric Bourgeois
ITW & réalisation : Marc E. Louvat
Images : Angelo Oliver
Assistant : Charley Nena
Générique : RFO Polynésie
Emmanuel Kasarhérou est né le 16 juillet 1960 à Nouméa. Son père, Hyppolyte Kasarhérou, est un tailleur kanak, et sa mère, Jacqueline de La Fontinelle, est une grande linguiste, enseignante à l'INALCO, experte en langues océaniennes. Par sa mère, il est aussi le petit-fils du peintre animalier Jean de La Fontinelle et descendant du peintre naturaliste de l'école de Barbizon François Auguste Ortmans (1826-1884).
Il étudie auprès de José Garanger, et rencontre ce faisant Roger Boulay, conservateur au musée des arts d’Afrique et d’Océanie au palais de la Porte dorée. Emmanuel Kasarhérou est nommé à 25 ans, en 1985, directeur du musée de Nouvelle-Calédonie. Avec Roger Boulay, il conçoit l’exposition « De jade et de nacre, Patrimoine culturel kanak » en 1990, qui est présentée à Nouméa puis à Paris.
Il prend ensuite en 1998 la tête du musée du centre Tjibaou, nouvellement inauguré à Nouméa, comme directeur culturel de l’Agence de développement de la culture kanak (ADCK), dont il devient directeur général en 2006. (Source Wikipedia).
Interview réalisée dans le cadre du FIFO 2009.
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