Eric Wittersheim évoque le tournage de son film "Grassroots, ceux qui votent".
Avril 2002 à Port-Vila, capitale du Vanuatu, petit paradis fiscal du Sud Pacifique. Les élections approchent.
Les médias sont rares et la campagne se déroule dans la rue, évoquant la démocratie des origines. Malgré la lucidité et l'humour dont fait preuve la population du Vanuatu ("grassroots", la populace), la politique prend ici un tour dramatique. Il y est question de domination, de liberté et du sort d’un si petit pays dans un monde globalisé.
Face aux grands partis en place, un seul homme semble proposer une alternative : Saby Natonga, un self made man qui s’est déjà imposé dans le foot et les affaires. Il conteste la domination économique des Blancs et des Chinois. Et pour gagner, il compte sur le soutien de sa communauté émigrée en masse dans les quartiers pauvres de la capitale. Le problème, c’est qu’il n’est pas vraiment très démocrate...
Construit comme une tragédie, Grassroots raconte une histoire simple et universelle : celle de la conquête du pouvoir.
Interview réalisée dans le cadre du FIFO 2008.
Equipe technique :
Production : ICA
Production : Eric Bourgeois
ITW & réalisation : Marc E. Louvat
Images : Angelo Oliver
Assistant : Charley Nena
Générique : RFO Polynésie
Eric Wittersheim évoque le tournage de son film "Grassroots, ceux qui votent".
Avril 2002 à Port-Vila, capitale du Vanuatu, petit paradis fiscal du Sud Pacifique. Les élections approchent.
Les médias sont rares et la campagne se déroule dans la rue, évoquant la démocratie des origines. Malgré la lucidité et l'humour dont fait preuve la population du Vanuatu ("grassroots", la populace), la politique prend ici un tour dramatique. Il y est question de domination, de liberté et du sort d’un si petit pays dans un monde globalisé.
Face aux grands partis en place, un seul homme semble proposer une alternative : Saby Natonga, un self made man qui s’est déjà imposé dans le foot et les affaires. Il conteste la domination économique des Blancs et des Chinois. Et pour gagner, il compte sur le soutien de sa communauté émigrée en masse dans les quartiers pauvres de la capitale. Le problème, c’est qu’il n’est pas vraiment très démocrate...
Construit comme une tragédie, Grassroots raconte une histoire simple et universelle : celle de la conquête du pouvoir.
Interview réalisée dans le cadre du FIFO 2008.
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